Bernard de Coen Update

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Biography

Bernard de Coen was born in Leuven, Belgium, May 19th of 1965. He studied latin and sciences at school and romance philology (French & Spanish language and literature) at the Catholic University of Louvain. After serving his country for a year and a pilgrimage to Compostela, he has been teaching French and Spanish for a couple of years, then became an interpreter and translator as a civil servant.

He has large interests in human sciences: philosophy, religion, arts, astronomy, aesthetics, ethics, linguistics and literature.

He enjoys playing tennis, jogging and taking a rest in his sauna.

performing a poetry act in Tienen (café Dieu)
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BIOBIBLIOGRAPHIE

Né le 19 mai 1965 à Louvain d'un père francophone bruxellois (ayant fait ses études en néerlandais) et d'une mère néerlandophone louvaniste (ayant fait ses études en français), grandi dans un giron francophone dans une ville flamande, les études entamées en néerlandais, les passe-temps en français, Bernard de Coen n'avait plus qu'à étudier la philologie romane à la KUL après ses humanités classiques au collège Saint-Pierre pour ne plus savoir quelle était sa véritable langue maternelle et se découvrir somme toute bilingue et ainsi se mettre les deux grandes communautés de notre petit pays à dos.

Bien vite, ce paradoxe se doublera d'un autre : sportif ou intellectuel ? La aussi, force est de répondre : les deux ; ce qui n'est guère pour faciliter les choses auprès de ceux qui aimeraient le saisir, le classer.

Après un an de service militaire, un pèlerinage à Saint Jacques de Compostelle et quelques annees de vagabondage dans l'enseignement du français et de l'espagnol par-ci par-la en Flandre, Bernard opte pour un emploi stable de traducteur / interprète administratif au service de l'Etat.

Il vit tranquillement dans la région de Louvain avec ses trois demoiselles, la grande, Gaëtane, et leurs petites Morgane (°1999) & Raphaëlle (°2002).

Il est membre de "amnesty international" et sponsorise par le biais de Foster Parents un petit garçon "Rudy Arevalo" au Honduras.

Son écu : écartelé (au vu de ce qui précède, nous dirons : bien sûr !) De pourpre et de sinople (ses couleurs preferées et celles de Wimbledon, - il fut vice-champion de Belgique indoor dans la catégorie des + de 35 ans) au 1 à une sirène d'argent, au 2 à un livre d'or (la lecture étant son passe-temps de prédilection : il achève la première moitié de sa bibliothèque idéale en 2000) avec sa devise nemo nasci rogat, au 3 à une harpe d'argent (son rêve en musique étant une petite maison en territoire celtique) et au 4 à un dextrochère d'argent (écrire : sa passion).

Depuis 1997, il entretient une correspondance littéraire avec son ancien copain de classe, le célèbre artiste figuratif flamand Sam Dillemans.

En 2000, il publie son premier recueil de poèmes : une petite centaine de sonnets aux Editions Lux, intitulé "Les bourraches" (ISBN 2-87408-104-3). Il récidivera avec un premier recueil de plus de 200 haikus bilingues en mai 2001: "Tiens", chez le même éditeur. C'est ainsi qu'il souhaite contribuer de quelques vers à cette formidable aventure qu'est la vie humaine sur terre. Ses haikus ont été repris dans l'anthologie du haiku contemporain (en) français "Chevaucher la lune" (2001). Sa poésie est classique, aux formes poétiques strictes. On peut la qualifier de postmoderne, même si on y retrouve des thèmes récurrents : philosophie, religion, linguistique, éthique, esthétique.

En 1999, il obtient le 3ème prix au grand concours international des rencontres des poètes et artistes en Bretagne ainsi qu'un prix d'honneur au grand prix des poètes de l'association peintre & poètes d'aujourd'hui.

Parallèlement, il développe une activité de traducteur littéraire (surtout de poésie) qu'il affectionne tout particulièrement : l'Eloge du Rien de Christian Bobin (1998), Oh!, flinterverzen et Camille, een steenworp in de tijd de Mark Meekers (2001), 3-Handig de Dirk Christiaens (2001), des poèmes de Sergen, Steegmans, Van Cauwenberge et Hertmans. Il aime à souligner qu'il faut traduire un poème le plus rapidement possible pour rester au maximum en harmonie avec l'ensemble du poème, mais qu'il faut paradoxalement tout aussi bien interrompre ce flux au moindre petit scrupule que l'on rencontrerait sur l'une ou l'autre formulation.